test : qui rêvez vous d'être en secrêt ?

LA FEMME D’UN CHAMPION

But ! Femme de Thierry Henry, de Tony Parker ou de Rafael Nadal, qu’importe le flacon pourvu que vous ayez l’ivresse. De ses muscles, de ses victoires et des clameurs de ses supporters. Même s’il est trop beau pour être vrai, trop rapide pour durer longtemps, trop riche pour faire fortune et toujours suivi de son entraîneur, de son kiné, de sa prod de pub et de ses copains, dans vos rêves les plus secrets vous êtes la femme du champion. Et son seul amour. Toujours à ses côtés et vivant ses matches avec lui comme si vous ne faisiez qu’un tous les deux, vous êtes son huile camphrée, sa sueur, son sucre, ses litres d’eau et son gri-gri. Lui, en vous donnant ses coupes est tout à vous dès qu’il sort des vestiaires. Et à sa mère. Mais vous vous le partagez. Bébé brouillon et bruyant à la maison, avec vous il est tendre et sérieux et fleure bon l’herbe, la poussière ou le tatami selon ses exploits. Mais il refusera toujours d’aller vivre sur une île déserte, il n’y aurait pas 50 millions de spectateurs pour l’applaudir quand il donnerait un coup dans un ballon ou une balle, ou étalerait un de ses congénères comme s’il était dans une cour de récréation. Entre deux parties de rigolade avec son club, s’il déprime, c’est vous qui le rassurez, l’encouragez ou mettez la pression : vous êtes responsable de ses performances. Mais ne le dopez pas trop d’amour quand même. On l’enverrait au labo..

LA GAGNANTE DU LOTO

Ça y est, vous allez troquer vos savates contre des escarpins ! Fini les galères, les horaires, le métro et d’être la der des der ! Vous l’avez d’ailleurs dit à toutes vos collègues de bureau pour les pousser au meurtre, mais pas autour de chez vous, vous auriez été repérée et obligée de donner vos sous à tout le voisinage. Ah ça, non alors ! Hé oui, dans vos rêves les plus secrets, vos plus douces divagations, vous êtes une gagnante Du Loto ! Une millionnaire ! À vous la grande vie ! Dans l’ordre : des vêtements, des bijoux, des parfums, une voiture, une maison, un voyage, des cadeaux pour tous ceux de votre famille et les 7 péchés capitaux si vous avez joué les 7 numéros. Plus de pacotille. Du luxe, du rutilant, du lourd et du tout neuf. Surtout. Et dire aux gens ce que vous pensez d’eux. Enfin ! Mais pas quand ils sont absents. Non, maintenant, là, en face ! Ça fait vingt ans que vous attendez ça. Surtout, au banquier ! Et à la concierge... Elle va s’en souvenir celle - là ! Et vous vous offrirez une fourrure pour faire marner votre cousine qui a épousé un garagiste... Fini aussi, pour l’homme de votre vie, de travailler... Il aura le temps de ranger son fourbi lui-même, comme ça ! Mais c’est vous qui vous occuperez des placements... ! Ça sera plus sûr ! Vous vous achèterez des fleurs aussi. Toutes les semaines. Ça sent bon les fleurs... Et pourquoi pas enfin pouvoir rencontrer Léonardo... ? C’est vrai... On a le droit de faire ce qu’on veut de son argent non, quand même ?

LA FEMME DE BILL GATES

Dans votre maison en bois et verre illuminée surplombant le lac Washington, reine de 2.700 m_ d’une technologie manipulant une armée de robots, moitié du maître du monde et toute entière soumise aux affres versatiles de son génie, rêveuse mégalo, vous rêvez d’être la femme de Bill Gates, l’empereur de l’informatique. Discrète, gentille, inconnue du public, mais cerveau d’acier vous aussi pour assumer son délire titanesque, vous décodez ses messages électroniques mieux que son Windows XP. Qu’il soit petit, malingre, pas beau, psychotique, surnommé le Prince des Ténèbres et complètement myope, vous est égal. Vous êtes sa puce préférée. Lui, VIP fuyant le reste de l’humanité et surtout les milliards de secrétaires sorties de l’esclavagisme de leurs patrons grâce à lui dès qu’elles s’assoient avec amour pour Microsoft dès 9 heures, tous les matins, devant leurs PC, il cherche toujours à inventer autre chose. Le futur. Tout en essayant dans son QG de Seattle de doubler son meilleur copain de Silicon Valley qui lui, à inventé les Mac. Sur notre galaxie, dans cette guerre des trusts, vous êtes aussi le seul vrai point de repère de votre éternel ado surdoué. Bravo. En attendant Orwell, bonjour chez vous, via Internet...

LA GAGNANTE DU LOTO

Ça y est, vous allez troquer vos savates contre des escarpins ! Fini les galères, les horaires, le métro et d’être la der des der ! Vous l’avez d’ailleurs dit à toutes vos collègues de bureau pour les pousser au meurtre, mais pas autour de chez vous, vous auriez été repérée et obligée de donner vos sous à tout le voisinage. Ah ça, non alors ! Hé oui, dans vos rêves les plus secrets, vos plus douces divagations, vous êtes une gagnante Du Loto ! Une millionnaire ! À vous la grande vie ! Dans l’ordre : des vêtements, des bijoux, des parfums, une voiture, une maison, un voyage, des cadeaux pour tous ceux de votre famille et les 7 péchés capitaux si vous avez joué les 7 numéros. Plus de pacotille. Du luxe, du rutilant, du lourd et du tout neuf. Surtout. Et dire aux gens ce que vous pensez d’eux. Enfin ! Mais pas quand ils sont absents. Non, maintenant, là, en face ! Ça fait vingt ans que vous attendez ça. Surtout, au banquier ! Et à la concierge... Elle va s’en souvenir celle - là ! Et vous vous offrirez une fourrure pour faire marner votre cousine qui a épousé un garagiste... Fini aussi, pour l’homme de votre vie, de travailler... Il aura le temps de ranger son fourbi lui-même, comme ça ! Mais c’est vous qui vous occuperez des placements... ! Ça sera plus sûr ! Vous vous achèterez des fleurs aussi. Toutes les semaines. Ça sent bon les fleurs... Et pourquoi pas enfin pouvoir rencontrer Léonardo... ? C’est vrai... On a le droit de faire ce qu’on veut de son argent non, quand même ?

LA FEMME DE BILL GATES

Dans votre maison en bois et verre illuminée surplombant le lac Washington, reine de 2.700 m_ d’une technologie manipulant une armée de robots, moitié du maître du monde et toute entière soumise aux affres versatiles de son génie, rêveuse mégalo, vous rêvez d’être la femme de Bill Gates, l’empereur de l’informatique. Discrète, gentille, inconnue du public, mais cerveau d’acier vous aussi pour assumer son délire titanesque, vous décodez ses messages électroniques mieux que son Windows XP. Qu’il soit petit, malingre, pas beau, psychotique, surnommé le Prince des Ténèbres et complètement myope, vous est égal. Vous êtes sa puce préférée. Lui, VIP fuyant le reste de l’humanité et surtout les milliards de secrétaires sorties de l’esclavagisme de leurs patrons grâce à lui dès qu’elles s’assoient avec amour pour Microsoft dès 9 heures, tous les matins, devant leurs PC, il cherche toujours à inventer autre chose. Le futur. Tout en essayant dans son QG de Seattle de doubler son meilleur copain de Silicon Valley qui lui, à inventé les Mac. Sur notre galaxie, dans cette guerre des trusts, vous êtes aussi le seul vrai point de repère de votre éternel ado surdoué. Bravo. En attendant Orwell, bonjour chez vous, via Internet...

LA FEMME DE BILL GATES

Dans votre maison en bois et verre illuminée surplombant le lac Washington, reine de 2.700 m_ d’une technologie manipulant une armée de robots, moitié du maître du monde et toute entière soumise aux affres versatiles de son génie, rêveuse mégalo, vous rêvez d’être la femme de Bill Gates, l’empereur de l’informatique. Discrète, gentille, inconnue du public, mais cerveau d’acier vous aussi pour assumer son délire titanesque, vous décodez ses messages électroniques mieux que son Windows XP. Qu’il soit petit, malingre, pas beau, psychotique, surnommé le Prince des Ténèbres et complètement myope, vous est égal. Vous êtes sa puce préférée. Lui, VIP fuyant le reste de l’humanité et surtout les milliards de secrétaires sorties de l’esclavagisme de leurs patrons grâce à lui dès qu’elles s’assoient avec amour pour Microsoft dès 9 heures, tous les matins, devant leurs PC, il cherche toujours à inventer autre chose. Le futur. Tout en essayant dans son QG de Seattle de doubler son meilleur copain de Silicon Valley qui lui, à inventé les Mac. Sur notre galaxie, dans cette guerre des trusts, vous êtes aussi le seul vrai point de repère de votre éternel ado surdoué. Bravo. En attendant Orwell, bonjour chez vous, via Internet...